Le
tabac
La désaccoutumance au tabac
Les endorphines: interaction entre les endorphines et la nicotine
Les neurosciences commencent à peine à décoder cette alchimie très fine qui constitue le fonctionnement de notre cerveau où les drogues viennent s’introduire en perturbant complètement le délicat système de production des neurohormones et, en particulier, de l’endorphine.
La chaîne des neurones dans le cerveau
Le cerveau est composé de milliards de cellules aux innombrables ramifications appelées neurones. Les neurones sont uniques en leur genre car ils ne ressemblent à aucune autre cellule de notre corps.
Les ramifications des neurones sont appelées axones et dendrites.
La nicotine : un leurre pour le cerveau
Voici comment la nicotine du tabac agit sur les cellules du cerveau, en créant une véritable dépendance chimique.
Les neurones de notre cerveau sécrètent une substance capable de faire disparaître la douleur et de créer un certain bien-être : il s’agit des endorphines, sorte de «morphines» naturelles qui sont produites lors d’un stress, d’une douleur, d’un effort physique, par exemple à l’occasion d’une marche rapide qui « fait mal » aux muscles du mollet, etc….
Les endorphines sont donc les «calmants» naturels de nos petites douleurs de la vie quotidienne. Ce sont aussi des euphorisants.
Les neurones chez un fumeur
Les alcaloïdes du tabac ont une composition chimique voisine de certains neurotransmetteurs dont l’endorphine, littéralement «morphine fabriquée à l’intérieur».
Ces alcaloïdes se logent dans les récepteurs des neurones comme de fausses clefs dans les serrures et font donc monter artificiellement le niveau de ces endorphines fictives.
Les neurones étant saturés, ce phénomène bloque les sécrétions d’endorphines naturelles dont le niveau de production redescend.
Pour calmer le manque et les sensations désagréables, le fumeur reprendra une cigarette.
L’intoxication se met ainsi en route car le tabac étant un mauvais substitut des endorphines, il en faudra de plus en plus pour obtenir la même efficacité.
La technique du traitement
Sans douleur sans souffrance, sans aiguille
Pour chaque séance le traitement consiste à diriger un stylet qui projette des rayons infrarouges, sur des terminaisons nerveuses très précises du corps humain, en l’occurrence les oreilles, les poignets et sur le crâne.
Les photons de ces rayons lumineux extrêmement particuliers qui ont demandé cinq années d’expériences et de mise au point, sont absorbés par les cellules de la peau et par l’intermédiaire des terminaisons nerveuses. Ce qui déclenche la production d’endorphines au niveau des neurotransmetteurs.
Le taux d’endorphines naturelles dans le corps va monter à un niveau élevé, supprimant ainsi pour le fumeur la sensation de dépendance et de manque.
Dans un second temps, le traitement agira comme un «électrochoc» au niveau des neurones, remettant en route la production normale et naturelle des endorphines.
Il faut environ trois à quatre jours pour que les neurones reprennent leur activité normale de production d’endorphines, à condition bien sûr qu’il y ait arrêt total du tabac et de tout existants (café, alcool, coca, red bull, thé..), dès la première séance, SOUS PEINE D’ANNULATION DES EFFETS DU TRAITEMENT.