Les endorphines: interaction entre les endorphines et la nicotine
Arrêter de fumer n’est pas seulement une question de volonté. Le tabac agit directement sur le cerveau en perturbant le système de production des endorphines, ces hormones naturelles qui apaisent douleur, stress et anxiété.
La nicotine vient se fixer sur les neurones et crée une dépendance chimique. Résultat : le fumeur a l’impression que la cigarette lui procure du bien-être, alors qu’elle ne fait que remplacer artificiellement l’action naturelle des endorphines.
La nicotine : un leurre pour le cerveau
Les neurones sécrètent naturellement des endorphines, véritables « calmants » et « euphorisants » produits lors d’un effort, d’un stress ou d’une douleur. La nicotine agit comme une fausse clé qui trompe les récepteurs neuronaux. Elle bloque la production naturelle des endorphines et installe un cycle d’addiction : plus on fume, plus le manque revient vite, et plus il faut de nicotine pour compenser.
C’est ce mécanisme qui entretient la dépendance au tabac.
Les neurones chez un fumeur
Chez un fumeur, les neurones saturés ne produisent plus suffisamment d’endorphines. Le manque se traduit par de l’irritabilité, de l’anxiété et une envie irrépressible de reprendre une cigarette.
Le tabac agit donc comme un mauvais substitut des endorphines : il soulage artificiellement mais affaiblit le système naturel de régulation. C’est ce cercle vicieux que la luminopuncture permet de rompre.
La technique du traitement
Sans douleur, sans souffrance, sans prise de poids et sans aiguille
Le traitement repose sur la luminopuncture, une méthode 100% naturelle. À l’aide d’un stylet infrarouge, des points précis sont stimulés (oreilles, poignets, crâne). Les photons lumineux activent les terminaisons nerveuses, déclenchant une production naturelle et intense d’endorphines.
Ainsi, dès la première séance (45 minutes environ), le taux d’endorphines remonte et le fumeur n’éprouve plus la même sensation de manque ou de nervosité.
En quelques jours, le cerveau reprend son fonctionnement normal et la production d’endorphines s’équilibre à nouveau, à condition d’arrêter totalement la cigarette et les excitants (café, alcool, etc.) pour ne pas annuler les effets.