L’alcool et le Cannabis Mondain
L'alcool Mondain
« De la convivialité à la dépendance »
Pourquoi buvez vous ?
⁃ La volonté de s’insérer socialement ?
⁃ Pour faire comme tout le monde ?
⁃ Qu’il est souvent difficile de refuser de boire quand on est invité ?
L’alcoolisme mondain peut aussi cacher des problématiques personnelles et un mal-être plus profond ?
L’alcool occupe une place importante dans notre culture et nos habitudes sociales. Un verre entre amis, un repas de famille ou une soirée festive : autant de situations où boire paraît naturel, parfois même difficile à refuser.
Pourtant, ce qui semble anodin peut progressivement installer une dépendance. L’alcool mondain n’est pas défini par la quantité consommée, mais par la fréquence.
Lorsqu’il devient quasi-quotidien, même en faible quantité, il peut fragiliser l’organisme et la santé psychologique.
Qui est concerné et comment le prévenir ?
Tout le monde peut être concerné par l’alcoolisme mondain
Tout le monde peut être touché par l’alcoolisme mondain.
Ce phénomène s’installe discrètement, au fil d’événements festifs répétés. Mis bout à bout, ces moments créent une habitude, parfois difficile à contrôler.
Pour évaluer sa consommation, il est conseillé d’arrêter volontairement pendant quelques jours :
Si un manque physique apparaît (tremblements, anxiété, insomnie…), la dépendance est déjà installée.
Si le manque n’est pas ressenti mais que l’habitude reste pesante, il est important de réduire avant que la dépendance ne s’installe durablement.
À long terme, l’alcool mondain peut provoquer fatigue, troubles du sommeil, irritabilité, mais aussi des maladies graves (atteintes du foie, troubles cardiovasculaires, certains cancers).
Comment la repérer ?
Pour jauger votre dépendance, essayez de vous passer volontairement d’alcool pendant deux ou trois jours, et prêtez attention à vos réactions.
– Si un sentiment de manque vous envahit (tremblements, anxiété accrue, inconfort, fièvre, etc…), la dépendance physique est avérée, il faut alors penser à diminuer sa consommation, en se faisant aider, si nécessaire.
– Si la sensation de manque physique ne vous saisit pas, votre rythme de consommation vous a toutefois alertée et il est bon de limiter au maximum votre consommation. La dépendance n’est peut-être pas encore avérée, mais elle peut très rapidement s’installer.
Quel que soit l’environnement social de la personne, ou son niveau de consommation, on estime qu’elle est dépendante à partir du moment où elle ne parvient pas à arrêter de boire, en dépit des conséquences néfastes de la boisson sur sa vie professionnelle, sociale, etc.
À terme, cette forme d’alcoolisation qui cache parfois un alcoolisme latent peut avoir des conséquences psychiques, relationnelles, professionnelles, mais aussi physiques (irritabilité, insomnie, fatigue, etc).
Rappelons-le, l’alcool est un composé toxique pour le corps, tous les niveaux de consommation présentent de risques.
Bien qu’elle soit une composante importante de la culture française, la consommation d’alcool reste la deuxième cause de mortalité évitable dans notre pays, après le tabagisme.
L’alcool est un facteur de risque majeur pour :
Certains cancers : cancer de la bouche, cancer de la gorge, cancer de l’œsophage, cancer du colon-rectum, cancer du sein chez la femme.
De nombreuses maladies chroniques : maladies du foie (cirrhose) et du pancréas, troubles cardiovasculaires, hypertension artérielle, maladies du système nerveux et troubles psychiques (anxiété, dépression,…pouvant conduire au suicide), démence précoce, etc.
Le Cannabis Mondain
« De la convivialité à la dépendance »
Pourquoi consommez-vous du cannabis ?
⁃ La volonté de s’insérer dans un groupe de collègues consommateurs ?
⁃ Êtes-vous un consommateur occasionnel ?
⁃
⁃ Pour faire comme tout le monde ?
⁃ Qu’il est souvent difficile de refuser de fumer du cannabis quand on est invité ?
Le cannabis, lui aussi, est souvent perçu comme festif ou occasionnel. Un joint partagé entre amis, « pour faire comme tout le monde », peut sembler anodin.
Mais la frontière entre consommation ponctuelle et dépendance est fine.
Quels sont les risques ?
Un consommateur « mondain » fume uniquement lorsqu’une occasion se présente. L’addiction apparaît lorsque la consommation devient quotidienne.
Le THC agit directement sur le cerveau, modifiant durablement son fonctionnement. À long terme, il augmente les risques d’anxiété, de troubles psychiques, et peut aussi fragiliser le cœur.
La consommation de cannabis peut représenter un danger pour les personnes souffrant de problèmes cardiaques et entraîner une augmentation du risque de crise cardiaque.
Quelles solutions mettre en place pour réduire ou stopper sa consommation d'alcool ou de cannabis ?
La luminopuncture offre une alternative naturelle et efficace.
Elle stimule les points du corps liés à la dépendance, réactive la production d’endorphines et permet de diminuer l’envie de consommer.
Pour l’alcool : plusieurs séances (3/4 d’heure chacune) permettent de rompre le cycle de dépendance.
Pour le cannabis : un protocole progressif, adapté au rythme de la personne, aide à retrouver l’équilibre.
Chaque accompagnement est personnalisé et suivi dans la durée, afin de sécuriser le chemin vers la liberté.